RÉQUISITOIRE DRESSÉ À L’ENCONTRE DE M. GERMINAL PEIRO, président du Conseil départemental de la Dordogne.
Préambule
La mauvaise foi, caractéristique essentielle du dossier Beynac, continue de dominer les débats autour du projet de contournement du village. Depuis plusieurs années, ce projet, réinitié par le président du Département de la Dordogne, Germinal Peiro, a suscité des controverses non seulement pour son impact environnemental, mais aussi pour la gestion politique et administrative qui en a découlé. L’homme à l’origine de cet immense gâchis manipulera-t-il encore longtemps le pouvoir politique et administratif de l’État ?
Lors d’une rencontre avec trois opposants le 27 février 2018 à Tournepique – Castelnaud-La-Chapelle, Germinal Peiro a déclaré : « Si je savais que je détruis l’environnement, j’arrêterais tout de suite ce projet. » Cependant, le problème réside dans le fait qu’il ne semble pas reconnaître les dégâts causés par son initiative, et sa raison ne peut le comprendre. Pour plus de détails, consultez le document « L’excellence environnementale selon G. Peiro ».
Ce réquisitoire a pour objectif, entre autres, de rappeler qu’un élu devrait être un citoyen exemplaire, respectueux des lois et des décisions judiciaires. Il s’agit d’un plaidoyer pour que la raison et l’état de droit triomphent, afin de préserver l’intérêt général et l’intégrité de nos institutions.
Nous avons procédé en traitant par l’IA (Intelligence Artificielle) deux séquences :
Rappel nécessaire de quelques éléments.
Ce dossier consiste essentiellement à contourner le bourg de Beynac pour alimenter directement la commune adjacente de Vézac grâce à un projet routier.
Ce dernier consiste à créer une nouvelle route de 3 km200 avec :
Ceci dans une zone extrêmement sensible classée à de multiples titres :
Le projet date des années 80 avec un parcours administratif chaotique. Il était en sommeil en 2015, M. Bernard Cazeau, jusqu’alors président du Conseil général, avait préféré un subventionnement de la municipalité de Beynac-et-Cazenac pour faire des travaux substantiels sur la traversée du bourg de Beynac afin d’améliorer :
En avril 2015, M. Germinal Peiro, qui aime à se présenter comme « enfant de Beynac », fils du défunt Fernand Peiro, maire de Vézac de 1971 à 1995, rêvant de faire de sa commune la « Porte d’entrée du Périgord Noir » directement connectée au projet dit de « Voie de la vallée », est élu président du nouveau Conseil départemental.
Lien vers « Historique contournement »
La question qui se pose est : l’homme à l’origine d’un immense gâchis manipulera-t-il encore longtemps le pouvoir politique et administratif de l’État ?
Lui qui déclara le 27 février 2018 à Tournepique – Castelnaud-La-Chapelle et devant trois opposants :
“Si je savais que je détruits l’environnement j’arrêterais tout de suite ce projet.” G. Peiro.
Le problème c’est qu’il ne le sait pas et que sa raison ne peut le comprendre.
Lien vers un document sur la soi-disant « excellence départementale » en matière environnementale, édité en novembre 2018 par DIGD pour le collectif « Sauvons la vallée Dordogne ».
Pour DIGD, le responsable de l’association, Théophile Pardo.
Ci-après : MAUVAISE FOI : Synthèse globale consolidée concernant les projets de contournement de Beynac.
MAUVAISE FOI : Synthèse globale consolidée concernant les projets de contournement de Beynac
Depuis son initiation dans les années 1980, le projet de contournement de Beynac a été au centre d'une controverse persistante dans la vallée de la Dordogne. Conçu initialement pour améliorer la fluidité du trafic et la sécurité routière en contournant le village de Beynac, le projet a évolué en une série de batailles juridiques, d'oppositions locales, et de décisions administratives contestées, mettant en lumière des pratiques controversées de la part du Département de la Dordogne et de son président, Germinal Peiro.
1. Défaut de respect des décisions de justice :
Les preuves documentées montrent que le Département de la Dordogne, sous la direction de Germinal Peiro, a à plusieurs reprises ignoré ou tenté de contourner les décisions judiciaires annulant le projet de contournement de Beynac. Malgré les injonctions de la Cour administrative d'appel de Bordeaux de démolir les ouvrages déjà construits, le Département a continué à retarder la mise en œuvre de ces décisions. La récente preuve 20 illustre comment, en 2015, M. Peiro a tenté de retarder la réalisation des travaux d'amélioration de la traversée de Beynac, et en 2023, il a présenté des images trompeuses de la circulation pour soutenir un nouveau projet, ce qui reflète une stratégie de désinformation et de mauvaise foi manifeste.
2. Utilisation stratégique des ressources publiques :
Les actions du Département de la Dordogne ont été marquées par une gestion discutable des ressources publiques. Plutôt que de se conformer aux ordonnances de démolition, le Département a utilisé des fonds publics pour poursuivre des projets alternatifs, tels que la "boucle multimodale". Cette manœuvre est perçue comme une tentative de contourner les décisions judiciaires antérieures et de retarder indéfiniment la démolition ordonnée. La preuve 20 renforce cette conclusion, montrant que les aménagements réalisés pour améliorer la traversée de Beynac n'ont pas été correctement divulgués au public, suggérant une volonté de minimiser les travaux existants pour justifier de nouveaux projets.
3. Division et manipulation politique :
Les preuves recueillies démontrent que Germinal Peiro a activement manipulé la scène politique locale pour créer des divisions parmi les élus et les résidents. Par exemple, il a été accusé de menacer les opposants de représailles économiques, telles que la suppression de subventions ou le ralentissement du traitement des dossiers municipaux. Ces tactiques ont semé la discorde et ont entravé le débat public honnête et transparent. De plus, les actions de Germinal Peiro visant à opposer les habitants entre eux et à manipuler le processus décisionnel sont perçues comme des actes de mauvaise foi visant à faire avancer son agenda personnel malgré une forte opposition.
4. Manque de transparence et désinformation :
Le projet a été marqué par un manque de transparence et des efforts continus pour désinformer le public. Des documents comptables ont été retenus malgré les demandes de la Commission d'accès aux documents administratifs, et des informations contradictoires ont été publiées concernant l'état des infrastructures déjà construites. La preuve 20 fournit des exemples concrets de désinformation, notamment l'utilisation d'images anciennes de la circulation pour créer une fausse impression de la situation actuelle à Beynac.
5. Critique de l'opportunisme et du clientélisme :
Les critiques affirment que le Département de la Dordogne, sous la direction de Germinal Peiro, a agi de manière opportuniste en lançant de nouveaux projets et en menant des enquêtes publiques perçues comme des tentatives de légitimer les initiatives annulées. Il est également accusé de clientélisme en cherchant à satisfaire certains intérêts privés tout en manipulant l'opinion publique à travers des campagnes de communication trompeuses.
6. Impact négatif sur l'image de la région et la sécurité :
Les actions du Département ont eu un impact négatif sur l'image de la vallée de la Dordogne, un site autrefois reconnu pour ses paysages préservés et son patrimoine culturel. Les critiques soulignent que la persistance à maintenir des structures inachevées et non sécurisées pose des risques pour la sécurité publique et nuit à l'attrait touristique de la région. De plus, la gestion de Germinal Peiro est perçue comme entachée de mauvaise foi, affectant ainsi la réputation du gouvernement local.
Conclusion générale :
Le projet de contournement de Beynac est devenu un exemple de conflit prolongé où les intérêts politiques, économiques, et environnementaux entrent en collision avec des questions de légalité et de gouvernance. Les actions du Département de la Dordogne, dirigées par Germinal Peiro, sont caractérisées par des accusations de mauvaise foi, de manipulation politique, et de manque de respect des décisions judiciaires. La situation actuelle illustre une profonde division au sein de la communauté locale et soulève des questions importantes sur la gestion responsable et éthique des projets publics en France. Les preuves accumulées révèlent une stratégie continue de désinformation et de manipulation politique qui, selon les critiques, vise à servir les intérêts personnels de quelques-uns au détriment du bien commun.
Cette affaire met en lumière un problème plus large et profondément enraciné dans la gouvernance des collectivités territoriales en France. Elle illustre un échec notable de la décentralisation, où certains élus locaux, une fois au pouvoir, semblent manquer des qualités morales nécessaires pour adhérer aux principes de leur charte, qui est pourtant une composante essentielle du Code général des collectivités territoriales (CGCT).
Face à ce constat, il devient impératif de considérer l'introduction de la révocabilité pour les présidents de conseils départementaux qui agissent en véritables barons néo-féodaux, afin de restaurer l'intégrité et la responsabilité au cœur de notre système démocratique local.
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